La terre peut-elle être l’alternative du béton dans l’habitat en Guadeloupe ?
Retour aux publicationLudgi Dracon - Mémoire de fin de Licence
2017 - ENSA Marseille
Aujourd’hui en Guadeloupe, une maison individuelle est généralement construite en béton armé et en bois. Le béton nécessite pour sa fabrication du sable, du gravier et du ciment. Sur une île, on prend conscience avec beaucoup plus d’acuité que les ressources sont limitées. C’est le cas du sable comme du gravier. Le ciment lui, n’est pas fabriqué sur l’île, il est donc systématiquement importé. Ainsi, le béton armé par sa production, son transport, son recyclage est un fort producteur d’énergie grise. Ainsi, sauf à utiliser les ressources présentes sur place, la construction sur une île pose un problème de développement durable. Ne faudrait-il pas être autarcique dans la consommation des matériaux ? La terre récupérée sur le terrain même de la construction peut-elle être une solution ?
2017 - ENSA Marseille
Aujourd’hui en Guadeloupe, une maison individuelle est généralement construite en béton armé et en bois. Le béton nécessite pour sa fabrication du sable, du gravier et du ciment. Sur une île, on prend conscience avec beaucoup plus d’acuité que les ressources sont limitées. C’est le cas du sable comme du gravier. Le ciment lui, n’est pas fabriqué sur l’île, il est donc systématiquement importé. Ainsi, le béton armé par sa production, son transport, son recyclage est un fort producteur d’énergie grise. Ainsi, sauf à utiliser les ressources présentes sur place, la construction sur une île pose un problème de développement durable. Ne faudrait-il pas être autarcique dans la consommation des matériaux ? La terre récupérée sur le terrain même de la construction peut-elle être une solution ?